Concrètement, c’est quoi ?

OduS, c’est un ensemble de logiciels qui constituent une plateforme numérique. Celle-ci permet de saisir, de gérer et de valoriser les données du spectacle vivant du Grand Briançonnais.

Et… pour quoi faire ?

OduS a trois vocations :

• mutualiser des informations métiers
• améliorer la communication culturelle sur le territoire (et au-delà)
• mieux connaître l’écosystème culturel du territoire (les lieux, les compagnies, les organisateurs, etc.)

Et… comment ça marche ?

De façon résumée, il y a un premier logiciel qui permet de saisir ses données (OduS-forms) et un second logiciel (OduS-delivery) qui permet de « distribuer » ces données à différents sites web, applications et plateformes tierces. Ce dernier valorise les données en les « éditorialisant » en fonction de leurs missions (une association qui présente les concerts dans les églises, un office de tourisme qui communique sur les spectacles du territoire, une collectivité qui recense les compagnies de théâtre de son territoire, etc.

Et… pourquoi « que » le spectacle et « que » le Grand Briançonnais ?

Pour la simple raison qu’il faut bien mettre des limites si on ne veut pas gérer toutes les données du monde entier ! Ceci étant, la discussion reste ouverte et il ne serait pas impossible qu’OduS s’étende à d’autres territoires et à d’autres domaines d’activité. Si vous souhaitez participer à la réflexion, ce site est fait pour vous ! Vous trouverez, par exemple, dans la rubrique « Le labo d'idées », différentes manières de prendre part aux réflexions et décisions sur le devenir d'OduS.

Mais… c’est qui OduS ?

OduS est géré à la manière d’une coopérative et de façon ouverte. Ce sont des acteurs culturels, des acteurs du tourisme, des acteurs médiatiques et des spectateurs qui prennent les décisions et qui font évoluer le projet. OduS, c'est toutes celles et ceux qui ont un intérêt à penser collectivement l'information culturelle sur le territoire.

Quant à l’ensemble logiciel qui permet de créer la plateforme, il a été conçu par Eloi dans le cadre de projets de recherche du CNRS et de l’université d’Avignon.